jeudi 15 décembre 2011

Parce qu’il n’y a pas que la technologie dans la vie

Dire que la technologie rend heureux, ne peut être une finalité. En effet, nous avons pu observer que la quête du bonheur est un cycle qui se répète à longueur de temps en fonction de nos désirs.
La technologie facilite et améliore nos conditions de vies. Se rendre à New York depuis Paris ne prend plus que quelques heures. Internet nous permet de faire des rencontres amoureuses, de se faire livrer ses courses chez soi, discuter instantanément avec des personnes situées à l’autre bout du monde. Et le futur nous réserve bien d’autres surprises, notamment avec les innovations à caractère environnemental.

Nos idées préconçues pourraient nous pousser à croire que vivre dans un pays ensoleillé comme le Mexique, ou se dorer la pilule sur plage bordée de cocotiers, nous rendraient plus heureux et proches du bonheur. Cependant des études mettent en lumière un classement bien différent de ces aprioris.
Le Danemark, la Suède, la Finlande, l’Autriche, sont parmi les 10 pays les plus heureux du monde.  Passer des moments en famille, recevoir une attention particulière, s’épanouir au travail, être en bonne santé … Voilà autant de propos pour lesquels les individus associent des moments de bonheur.

Somme-nous donc dépendants de la technologie pour réaliser notre quête du bonheur ? 
La réponse serait plutôt non. La technologie permet donc de favoriser l’accès au bonheur, elle prend la forme de tremplin. Nous pouvons combler nos désirs par des choses simples et en réalisant les efforts nécessaires. Le bonheur c’est aussi se dire (et s’en convaincre) qu’il nous est possible d’être heureux, bien que cet état demeure utopique, cela nous pousse donc à positiver et retenir l’aspect positif des choses. Avec ou sans la technologie…

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