mardi 13 décembre 2011

Entre absurde et réalité … les webophobes-people


Le groupe des peureuses s'introduit dans le blog MMI, en guise d'introduction une typologie amusante des Webophobes français. 
Des réactions parfois virulentes face à une nouvelle technologie qui inquiète.


Le webophobe illuminé : Jacques Seguela

« Il y a un cancer de cette société, dont il est victime, qui s’appelle l’intox. Qui est dû à quoi ? Qui est dû au net. Le Net est la plus grande saloperie qu’aient jamais inventé les hommes ! C’est un dieu vivant ! Car Internet permet à tous les hommes de communiquer avec les autres hommes. »


Le webophobe Largué : Amanda Lear

"Si je dis dans un magazine que Claire Chazal a les pieds plats, elle peut me faire un procès. Mais si j'écris sur Internet que le Président de la République est un con, y'a pas de problème. C'est un espace de liberté mais à l'arrivée, ça devient n'importe quoi. Je vous le dis franchement, je rêve qu'on interdise ce truc".

Le webophobe parano : Segolène Royal

"Il faut un site comme ça, avec des traits. Non, moi je veux un site qui nous ressemble. Et pas nous qui ressemblions au site. Vous savez, c’est très rare ce que je dis-là. Parce que c’est très puissant le lobby d’Internet."

Le webophobe corporatiste : Luc Besson.

"Le piratage est tout simplement un vol caractérisé. Il y a 500 000 vols de films par jour en France : 500 000 connexions illégales. Les internautes français détiennent ce triste record du monde. Voilà une bien mauvaise image pour le pays des droits de l'homme."

Le webophobe réactionnaire : Alain Finkielkraut.

En septembre dernier, le philosophe expliquait qu’Internet était "l’instrument privilégié du n’importe quoi".
« Je vous explique qu’Internet est un asile pour les photos, les images, les conversations volées. Est-ce qu’Internet n’est pas cette poubelle de toutes les informations ? »


Le webophobe sécuritaire : Frédéric Lefebvre.

"Combien faudra-t-il de jeunes filles violées pour que les autorités réagissent ? Combien faudra-t-il de morts suite à l'absorption de faux médicaments ? Combien faudra-t-il d'adolescents manipulés ? Combien faudra-t-il de créateurs ruinés par le pillage de leurs œuvres ?"

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