Nous sommes tous animés par le désir. Le besoin par définition est vital, à l’inverse le désir est une volonté inhérente à notre être.
Ce mot aux multiples usages amène à la satisfaction, la plénitude et l’apaisement.
Le désir apparaît donc comme la quête du bonheur. Après avoir identifié nos désirs, nous nous efforçons de les combler en mettant tous les éléments nécessaires de notre côté pour y parvenir. Mais lorsque cette quête du bonheur est accomplie peut-on s’en satisfaire pleinement et être définitivement heureux. Est-ce un but ultime ?
Non, car l’homme en veut toujours plus. Un désir assouvi, engendre un nouveau désir.
« Le roi est mort, vive le roi.
Le désir est comblé, vive le désir », pourrait-on également dire ?
La quête du bonheur est donc périodique. Elle suit un cercle vertueux qui se répète insatiablement tout au long de notre vie avec pour objectif final d’être heureux.
D'ailleurs, André Malraux a dit : "le bonheur est pour les imbéciles", en ce sens qu'il est utopique de croire qu'on peut atteindre un état absolu, alors qu'on se trouve dans un monde relatif.
D'ailleurs, André Malraux a dit : "le bonheur est pour les imbéciles", en ce sens qu'il est utopique de croire qu'on peut atteindre un état absolu, alors qu'on se trouve dans un monde relatif.
On cherche à être heureux dans les différentes composantes de notre vie : amour, argent, travail, famille… L’obtention d’un salaire plus élevé, nous satisfait dans l’immédiat, mais cela est remis en cause au fil du temps, avec l’envie de gagner encore plus.
Trouver l’âme sœur est synonyme de plénitude et de bonheur, se marier, fonder une famille sont autant d’étapes supplémentaires qui nous procurent du bonheur.
De même, à la question de savoir quel est le jour le plus heureux de leur vie ? La réponse des individus évoluera au fil des années, selon les évènements rencontrés.
Cela renforce donc l’idée que "être heureux" n’a pas de point final, mais est un état éphémère.
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