La peur d’Internet pourrait être déterminée à la naissance et lié non à l’éducation mais aux hormones.
Le directeur de l’étude affirme que la technophobie est un phénomène répandu. Cette étude permet d’affirmer « qu’un tiers des personnes sondées sont mal à l’aise avec la technologie. Ils peuvent s’en servir, mais ça les dérange, et ils l’évitent dans la mesure du possible.
Parmi ce tiers, 5% montrent des symptômes d’anxiété classiques quand ils sont confrontés à la technologie: palpitations, paumes moites… ». Sur les embryons, la testostérone prénatale a un impact sur le cerveau qui rend plus ou moins facile pour une personne de comprendre la technologie. Plus cette testostérone est élevée plus la compréhension des technologies est facilement compréhensible. Les étudiantes en informatique auraient bénéficié d’un taux de testostérone important.
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