La réponse aux peurs des individus se caractérise par la montée en puissance des mouvements anti-technologie. Ces mouvements s’inscrivent dans l’héritage d’une doctrine britannique : le luddisme. Ce mouvement a eu lieu suite à la révolution industrielle du XIX siècles, les radicaux s’insurgent contre les usines et le salariat. Cela dit, ces mouvements restaient avant tout politiques. Aujourd’hui le néo-luddisme prône le retour aux valeurs dites plus naturelles que celles de la technologie qui est selon les luddismes trop artificielles et dangereuses. Philippe Breton, accuse la technologie d’aliéner l’Homme et de détruire le lien social. Ils reprochent à la technologie de nuire à l’environnement. L’opposition aux technologies est un reflexe technophobe, parmi elles l’automobile, le train à grande vitesse, les antennes relais… Ces mouvements sont aussi des remèdes au capitalisme.
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